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Notre histoire
Depuis plus d’un siècle, notre aventure s’écrit à Amiens. Née d’un savoir-faire textile familial fondé en 1911, la maison s’est réinventée en 1992 pour devenir CIT Dessaint : un atelier amiénois où l’impression et la confection se rencontrent, au service des marques, des associations et des clubs qui veulent des tenues qui leur ressemblent. Cette héritage (précision des gestes, sens du détail), nourrit notre façon de travailler aujourd’hui : fabriquer juste, vite et bien, sans jamais transiger sur l’exigence !
De la lingerie d’hier aux maillots d’aujourd’hui, nous avons intégré les technologies d’impression les plus avancées (dont la sublimation) et consolidé un modèle local, labellisé Origine France Garantie.
Ce sont, chaque année, des milliers de pièces conçues et produites en France, capables d’habiller la performance comme l’émotion sur la glace, sur les terrains, dans les parcs de loisirs et jusque sur scène… Plus qu’un fournisseur, nous sommes un partenaire de confiance !

Savoir-faire local
Entreprise française située à Amiens

Suivi de vos projets
Personnalisé et unique

Savoir-faire
Depuis 1992
L'Histoire DESSAINT : plus de 100 ans de savoir-faire...
La naissance de l’entreprise (1911) : Hubert Dessaint va créer la manufacture textile au 344 rue Saint-Honoré, devenue en 1958, le 32 rue Jean Moulin. L’entreprise propose de la lingerie féminine et masculine ainsi que du linge de maison.
L’entreprise se développe (1920) : Dans les années 20, le tout coton évolue vers la rayonne et les matières indémaillables. L’industrie textile est incontournable en Picardie. Les produits s’exportent mondialement : l’entreprise travaille pour l’armée française en 1927.
Un affaire de générations (1933) : Décès d’Hubert Dessaint : reprise de « la manufacture de lingerie Dessaint et fils » par son épouse Georgette. Une cinquantaine de salariés dont 42 femmes y travaillent. L’entreprise est rebaptisée : «Manufacture Veuve Dessaint et fils ».
Elle s’inscrit dans l’atlas répertoire de la 2ème région économique des industries du textile et de l’habillement en 1933/1934.
Un nouveau conflit (1939) :
Les conflits qui s’abattent sur la France obligent les industriels à s’organiser et à se préparer pour la mobilisation de la main d’œuvre.
Une activité déserte (1940) : Défaut de la matière première, véhicules réquisitionnés, clients qui se font rares, pénurie économique, arrêt de l’activité… La ville d’Amiens devient déserte ! L’entreprise n’alimente plus la production.
Les montagnes russes (1941 à 1945) : L’entreprise est dans la tourmente. Elle a réouvert, mais souffre des pénuries que ce soit en main d’œuvre ou bien en matières premières. Elle oscille entre l’arrêt de l’activité et la reprise... L’entreprise doit faire face à ces aléas pendant la guerre.
La paix s’installe (1946) : 9 ouvrières ont retrouvé le chemin de l’atelier, la France est en reconstruction. La production repart de nouveau !
Les activités reprennent (1947) : L’approvisionnement en matière première devient de nouveau normal. La manufacture compte des représentants sur l’ensemble du territoire !
Une nouvelle génération prend les rênes (1970) : Philippe et Hubert Dessaint rejoignent leurs parents à la tête de l'entreprise familiale. Hubert, après avoir suivi l'École d'Habillement boulevard Saint-Marcel à Paris, effectue un stage au CETIH (Centre Technique des Industries de l'Habillement). Fort de ce bagage technique, il revient dans la manufacture familiale pour prendre en charge une partie de la production et de l'organisation.
De nouvelles opportunités : Guy Dessaint décide de propulser son fils aîné dans le domaine commercial en lui confiant ce secteur stratégique. Travaillant d'abord en binôme avec le représentant sortant, Hubert se révèle rapidement être un bon commercial. Ses clients incluent des enseignes prestigieuses telles que Les Galeries Lafayette, le Printemps et la Samaritaine, qui viennent compléter le réseau de vente par correspondance dans le Nord ainsi que les grandes chaînes d'hypermarchés émergentes.
Les affaires prospèrent : Dès 1972, Philippe rejoint l’entreprise en parallèle de ses études en sciences économiques. Il prend petit à petit, la gestion technique de l’établissement. La manufacture DESSAINT et fils compte 120 salariés. Un atelier est installé en 1972 à Longpré-les-Corps-Saints.
Un tournant pour l'entreprise : les années 80 marquent un tournant pour DESSAINT avec la sérigraphie. Avec la mode des maxi T-shirts et le besoin de moderniser l’offre pour un public cible plus jeune, Philippe Dessaint, soutenu par André Guillois, lance un premier motif sérigraphié à la main : « Bonsoir ». Les Nouvelles Galeries sont emballées et installent un corner dédié, les grandes surfaces suivent, et les ventes explosent : jusqu’à 800 pièces par semaine rien que chez Carrefour Aulnay !
Des investissements à long termes : face à l’engouement, l’entreprise investit dans des cadres grand format, signe des licences avec de grands noms : Claire Bretécher, Uderzo ou Belom, et investit avec un tourniquet autrichien capable d’imprimer 500 pièces/heure. Ce matériel oblige d’agrandir les portes et de casser les murs de l’entreprise. Philippe confie l’unité à sa sœur Florence, infirmière du CHU d’Amiens, qu’il a débauché pour l’occasion. Très vite, la sérigraphie devient une activité autonome, avec des collections dédiées, des procédés photosensibles et un savoir-faire qui s’impose dans toute la filière textile.
Des personnages marquants : en 1985, une robe pour jeunes filles à l’effigie de Pierrot cartonne avec 80 000 exemplaires vendus grâce à une impression en quadrichromie innovante pour l’époque. L’entreprise DESSAINT conçoit des pyjamas Charlie Chaplin, mêlant créativité textile et icônes populaires. Ce savoir-faire devient une référence. Les confectionneurs appellent l’entreprise pour sous-traiter leurs commandes auprès des associations et particuliers. La sérigraphie séduit tous les publics !
Une histoire à croquer : Pour l’anniversaire des 100 ans de LU (1986), l’entreprise innove avec de nouvelles techniques. Elle ajoute à son encre un agent gonflant donnant ainsi, du relief à l’impression du petit-beurre sur le T-shirt. Le visuel prend vie, et le biscuit semble littéralement sortir du tissu : “on a envie de le croquer”. L’année suivante, l’entreprise Dessaint signe tous les
Une concurrence grandissante : dans les années 1980, alors que Guy Dessaint se retire officiellement de l’entreprise familiale, la société continue d’évoluer. L’entreprise, encore spécialisée dans la lingerie féminine, fournit alors les grandes enseignes françaises de la vente par correspondance comme La Redoute ou les 3 Suisses. Mais face à la montée en puissance des importations asiatiques et à la transformation des matières premières utilisées, les premiers signes d’un bouleversement économique apparaissent.
Une prise de décision : Philippe Dessaint, conscient de la nécessité d’adaptation, tente de relancer l’activité par des partenariats et en développant une ligne complète de prêt-à-porter avec des stylistes reconnus. La concurrence étrangère s’intensifie, les marchés traditionnels s’effondrent, et les copies des modèles se multiplient. Devant la baisse drastique des commandes, il cherche à intégrer un groupe plus solide, mais le projet échoue. Refusant de compromettre l’outil industriel familial, Philippe prend la décision difficile de déposer le bilan. Cette démarche permet de stopper l’hémorragie financière et amorce une période de redressement où l’entreprise retrouve temporairement une rentabilité.
Quand une erreur devient une révélation...
Une erreur d’impression sur les maillots de l’équipe de hockey sur glace d’Amiens :
Les Écureuils. Le fournisseur finlandais, chargé de la production, imprime le mot « écureuil » en toutes lettres, au lieu du logo de la Caisse d’Épargne, sponsor du club. Les maillots étaient inutilisables, il fallait trouver une solution. Florence Dessaint masque le texte dans l’urgence et réimprime un écureuil en sérigraphie directement dans les ateliers. Les maillots sont sauvés, et le club est conquis !
Un nouveau marché : Séduite par la réactivité et la qualité du travail, l’équipe d’Amiens propose à la famille Dessaint de réfléchir à la fabrication complète des maillots. Après un an de tests et de persévérance pour concevoir un maillot adapté aux exigences du hockey sur glace, c’est officiel l’entreprise Dessaint devient un fabricant d’équipements incontournable avec des équipes comme Valenciennes, Rouen, Reims, Dunkerque qui souhaitent, la saison suivante, leur maillot signé Dessaint. L’entreprise fait son apparition sur le marché du sport.
Comme quoi, parfois, une erreur peut déclencher les plus grandes réussites.
Les difficultés de la fin des années 1980 : à la fin des années 80, l’entreprise Dessaint doit faire face à une équation complexe : pour assurer sa pérennité, elle a besoin d’intégrer un groupe solide et de bénéficier d’un réseau de distribution intégré. En 1989, une étude est menée pour trouver un partenaire. Malgré plusieurs contacts et la signature d’un protocole d’accord avec un investisseur, rien de concret ne voit le jour. La trésorerie est exsangue et Philippe Dessaint découvre rapidement que le prétendu associé n’était attiré que par les richesses de la manufacture familiale. Il décide alors de rompre l’accord et, pour protéger l’outil industriel, de déposer le bilan. La Banque de France confirme qu’aucune faute de gestion n’a été commise. Grâce aux mesures mises en place, l’entreprise parvient même à renouer avec les bénéfices pendant la période de redressement.
Le rachat par le groupe ADIS en 1990 : quatre repreneurs se présentent, dont le groupe ADIS, spécialiste de l’immobilier mais étranger au secteur textile. Paradoxalement, ce dernier apparaît comme le plus à même de sauvegarder les 80 emplois.
Le 1er septembre 1990, l’acte de reprise est signé : l’ensemble des actifs mobiliers et immobiliers de l’entreprise sont rachetés. Le groupe valide les décisions prises par Philippe Dessaint pendant l’observation judiciaire, lesquelles avaient permis un spectaculaire redressement. Philippe est maintenu au poste de directeur général. Dès la première année, le bilan redevient positif. Sous l’impulsion d’Hubert Dessaint, en charge des clients et des centrales d’achat parisiennes, la société diversifie sa production avec les bodies et les petites pièces de dessus, alors en plein essor. Un directeur marketing est recruté pour définir une stratégie commerciale et renforcer la politique de distribution. L’entreprise renoue avec une dynamique de croissance grâce à sa capacité d’adaptation et d’anticipation.
1992, le tournant manqué : en janvier 1992, le directeur marketing récemment embauché prend la tête de la société, succédant à Philippe Dessaint qui est remercié. Mais rapidement, la stratégie dévie : la production et la relation client passent au second plan. L’entreprise ne répond plus aux attentes de son réseau. Si la sérigraphie dirigée par Florence continue de présenter des résultats positifs avec les maxi-T-Shirts, le reste de l’activité s’essouffle. Florence finit par démissionner en juin, tandis qu’Hubert tente de maintenir le cap jusqu’au bout.
La liquidation : après l’été 1992, le chiffre d’affaires s’effondre brutalement. Faute d’activité et malgré les efforts internes, la liquidation judiciaire est prononcée en novembre 1992. Cette décision marque la fin d’un cycle et clôt une période faite d’espoirs, de combats et de profondes mutations pour l’entreprise familiale.
Rebondir après la liquidation : en 1992, au moment où Philippe Dessaint doit quitter la société familiale, il réfléchit avec Florence à une nouvelle voie. Ensemble, ils imaginent un projet basé sur deux atouts majeurs : la confection et l’impression textile. Leur idée est simple mais ambitieuse : répondre aux demandes de petites séries personnalisées, délaissées par les grands fabricants, et capitaliser sur leur savoir-faire reconnu. C’est ainsi que naît Confection et Impression Textile (CIT), installée dès juillet 1992 dans quelques locaux familiaux de la rue Jean-Moulin. Les débuts sont modestes : un confrère prête trois machines (piqueuse, surjeteuse et ourleuse) et en septembre, une première couturière licenciée d’une manufacture de lingerie est embauchée. Rapidement, l’équipe s’agrandit et CIT prend son envol.
Les premiers maillots et la sérigraphie : Les premiers modèles de maillots de hockey sont dessinés à la gouache, puis imprimés en sérigraphie sur tissu. Les décors et logos sont obtenus grâce à des assemblages de panneaux de couleurs différentes.
L’activité s’articule autour de deux axes :
- La confection de maillots de sport
- La personnalisation textile par sérigraphie
Dès ses débuts, Florence relance l’impression à l’unité et sous-traite pour des confrères. Rien qu’en septembre 1992, elle sort plus de 5 000 pièces imprimées en 5 couleurs : un succès immédiat qui séduit les clients.
1993, l'ouverture à l'international : En 1993, des proches de Philippe l’encouragent à présenter la nouveauté en Allemagne. Cette opportunité ouvre un nouveau chapitre : en plus du hockey, CIT se lance dans le football américain. Pendant deux saisons, l’entreprise équipe des équipes allemandes avant de conquérir progressivement le marché français. Cette diversification marque le début d’une évolution continue : après le hockey et le football US, CIT développe des gammes pour le handball, le football, le cyclisme, le kayak, et bien d’autres disciplines.
Des partenariats avec les fédérations : fidèle à sa vision, Philippe Dessaint veut que CIT s’investisse au plus haut niveau. L’entreprise s’implique alors aux côtés des fédérations sportives :
- Hockey sur glace : depuis sa création, CIT accompagne la Fédération Française et fournit des maillots pour les grandes compétitions nationales.
- Roller hockey : CIT habille les équipes de France, en compétition et hors des terrains, notamment pour les championnats du monde.
- Football américain : depuis 2009, CIT conçoit et fabrique les tenues officielles des équipes de France, en s’appuyant sur son expertise.
Une philosophie constante : depuis 1992, CIT tisse des liens solides avec les clubs et fédérations, toujours guidée par la même volonté : répondre aux besoins spécifiques de chaque équipe et proposer des solutions sur mesure, sans jamais transiger sur la qualité.
À partir de janvier 1997, la société s’ouvre à un nouveau savoir-faire : la sublimation, un procédé de personnalisation de textile. Cette technique unique en France va lui permettre de conquérir le marché des tenues de sport notamment pour le hockey sur glace et le football américain. Ainsi, elle a acquis une certaine notoriété dans le monde du sport.
Diversification et innovations technologiques, une clientèle qui s’élargit : tout au long des années 1990, CIT gagne en notoriété. Grâce au bouche-à-oreille et à une exigence constante de rigueur, de savoir-faire et de professionnalisme, l’entreprise conquiert peu à peu les associations sportives, les collectivités territoriales et de nombreuses entreprises. Florence joue un rôle clé dans cette dynamique : à l’écoute de ses clients, elle les conseille en amont, ajuste leurs idées et les optimise pour garantir des produits de qualité, tant sur le plan graphique que technique.
Dans les années 2000, en parallèle de ces activités, elle s’ouvre à la production de nombreux types de supports de communication (roll-up, flamme, drapeau, ...) ainsi que la personnalisation d’objets promotionnels (stylo, clé USB, Mugs, ...). Son activité de personnalisation de vêtements se développe également grâce à la diversité des méthodes utilisées. En effet, l’entreprise acquiert des nouvelles techniques de personnalisation tel que la broderie (externalisé jusqu’en 2021), le transfert (en 2019) ou encore et le flex.
Les premiers grands événements :
Cette proximité avec les clients conduit CIT à participer à des événements d’envergure :
- En 2000, Amiens accueille le Championnat du Monde de roller hockey. CIT assure la gestion et la vente des produits dérivés.
- En 2006, l’IIHF organise un tournoi qualificatif pour les Championnats du Monde de hockey au Coliseum d’Amiens. CIT met en place les produits dérivés destinés aux supporters et gère deux points de vente sur place.
Un partenariat fort avec les Ateliers du Val de Selle :
Dès la fin des années 1990, CIT collabore avec Allain Houard, fondateur des Ateliers du Val de Selle. En 2002, pour le Championnat du Monde d’attelage à Conty, CIT conçoit les tenues des officiels et bénévoles, assure le pavoisement et tient un stand de vente de produits dérivés. Le succès est tel que la relation se transforme en un véritable partenariat. Dix ans plus tard, l’aventure se renouvelle : pour le Championnat du Monde 2011, CIT imagine un visuel de 8 mètres, réalise des banderoles et crée une ligne textile complète pour l’événement.
Le tournant de la distribution :
Jusqu’au début des années 1990, CIT fabrique elle-même la quasi-totalité de ses produits, à l’exception des T-shirts. Mais au fil du temps, ce modèle devient moins compétitif. Progressivement, les produits standards (T-shirts, sweats, polos, coupe-vent, etc.) sont importés via des relais spécialisés. La tendance de la customisation renforce cette évolution. En 2005, CIT édite son premier catalogue de 250 pages, une véritable révolution pour ses clients. Beaucoup découvrent alors l’immense variété de supports d’impression disponibles. Le succès est immédiat : le nombre de commandes explose et la diversité des produits personnalisés s’élargit considérablement.
L’ère de la sublimation :
Toujours en quête d’innovation, Philippe Dessaint observe les pratiques suisses et introduit la sublimation pour l’impression des maillots de hockey. D’abord sous-traitée en Belgique, cette technique est rapidement internalisée pour mieux maîtriser les délais.
Au début des années 2000, l’arrivée des traceurs numériques bouleverse les perspectives. Après une phase d’observation, CIT investit dans son propre traceur, puis dans un deuxième, un troisième et un quatrième. Cette montée en puissance permet à l’entreprise d’acquérir une expertise rare dans le domaine.
Aujourd’hui encore, cette maîtrise fait de CIT une référence incontournable en matière de sublimation textile, capable d’offrir une créativité sans limite et une qualité de rendu reconnue.
Une révolution technologique : toujours en quête d’innovation, CIT franchit un nouveau cap en 2007. Lors d’un salon professionnel, l’entreprise décide d’un changement radical : passer à l’impression en continu. En seulement 18 mois, 100 % de la production bascule vers cette nouvelle méthode, réalisée sur une calandre. L’impression à la presse est totalement abandonnée. Grâce à ce procédé, CIT est capable de produire jusqu’à 250 mètres de tissus par jour, non seulement pour ses propres besoins mais aussi pour ses confrères : ateliers de confection, sociétés spécialisées dans certains sports, ateliers de costumes, ou encore le cinéma.
Une méthode unique : dans le milieu de la confection, la sublimation se fait généralement à la presse, une fois les morceaux de vêtements découpés. CIT adopte une démarche inverse et innovante : imprimer les rouleaux entiers de tissus avant la découpe. Cette approche assure une qualité optimale et une grande liberté créative dans la confection des pièces.
L’entreprise se structure autour de deux secteurs complémentaires :
- La sublimation, dirigée par Philippe, qui s’adresse à un marché national et européen, notamment dans le domaine du sport.
- La sérigraphie, pilotée par Florence, cœur historique de l’activité, qui touche davantage une clientèle régionale : collectivités, associations, entreprises.
Ces deux pôles progressent en parallèle depuis près de 20 ans et représentent chacun 50 % du chiffre d’affaires. Une répartition équilibrée qui illustre la diversité et la solidité du modèle CIT.
L’histoire familiale continue de s’écrire avec l’arrivée de la cinquième génération :
- Virginie Dessaint, après ses études, a rejoint l’entreprise et pris en charge le secteur administratif, jusque-là assumé par son père Philippe.
- Nicolas Dessaint, ingénieur web, apporte ses compétences pour assurer la maintenance et l’évolution du site internet de CIT.
- Odile Franquet, fille aînée de Florence, achève un cursus en école de commerce et management qui pourrait la conduire à rejoindre à son tour l’aventure familiale.
Ainsi, CIT poursuit son développement en conjuguant innovation technologique, expertise reconnue et transmission familiale, fidèle à l’esprit d’adaptation et de passion qui anime la maison Dessaint depuis plusieurs générations.
Une relève réfléchie
Au cours des années 2010, la cinquième génération fait progressivement son entrée dans l’entreprise. Virginie et Nicolas, les enfants de Philippe Dessaint, prennent peu à peu les rênes, tout en s’appuyant sur l’expérience et les conseils de leur père. Cette transition se construit dans la confiance, le respect des valeurs familiales et la volonté de préserver l’esprit d’une maison centenaire.
Pour de nombreux salariés, cette évolution a une résonance particulière : ils ont connu Philippe comme dirigeant, mais aussi ses enfants lorsqu’ils étaient encore enfants eux-mêmes, grandissant dans l’univers de l’entreprise familiale. Certains collaborateurs ont ainsi vécu plusieurs étapes de cette aventure humaine, passant d’une génération à l’autre, avec toujours ce même sentiment de faire partie d’une histoire collective.
Un écrin patrimonial pour l’avenir :
À partir de 2019, CIT écrit un nouveau chapitre de son histoire en s’installant dans les majestueuses anciennes usines de velours Cosserat, classées à l’inventaire des Monuments Historiques. Ce site emblématique du patrimoine textile amiénois, témoin d’un riche passé industriel, devient l’écrin de la cinquième génération Dessaint. Au-delà d’un simple déménagement, ce choix illustre la volonté de l’entreprise de s’inscrire dans la continuité : préserver une mémoire locale tout en projetant son savoir-faire vers l’avenir. Le lieu accueille également l’association « Mémoire de Sayetteur », qui participe à la mise en valeur de ce patrimoine, ainsi que des visites guidées permettant de faire découvrir l’univers du textile et l’histoire industrielle d’Amiens.
En investissant ce cadre unique, CIT allie héritage et modernité, confirmant son rôle d’acteur régional engagé et de passeur de savoir-faire.
Un engagement citoyen face à la crise sanitaire :
En mars 2020, alors que la crise du COVID-19 frappe de plein fouet la France, CIT-Dessaint mobilise son savoir-faire et ses équipes pour répondre à l’urgence nationale.
L’entreprise se lance rapidement dans la fabrication de masques en tissu, produits localement et sur le territoire français.
Cette réactivité illustre deux valeurs fortes de la maison Dessaint :
- L’agilité, avec la capacité d’adapter immédiatement ses lignes de production,
- La responsabilité, en mettant son expertise textile au service de la protection collective.
À travers cette contribution, CIT confirme son rôle d’acteur engagé du territoire, capable d’allier innovation, solidarité et ancrage local même dans les périodes les plus critiques.
Une invitation :
Le 14 juillet 2020, CIT a été conviée à la cérémonie nationale sur la place de la Concorde à Paris. Cette invitation rend hommage à l’engagement de l’entreprise durant la crise sanitaire. À cette occasion, CIT tient à saluer l’ensemble des acteurs mobilisés contre la COVID-19 soignants, services publics, associations, entreprises et bénévoles dont l’action a été essentielle.
Un événement qui marque le déménagement :
CIT a participé à la soirée de Gala de gala du groupe REALITES pour récompenser les lauréats de l'appel d'offre afin de réhabiliter le site Cosserat
Un label qui change tout :
En 2021, CIT DESSAINT a obtenu le label OFG (Origine France garantie) par l'Afnor. Ce label, porté par l’association Pro France, atteste qu’un produit tire son caractère essentiel en France et que plus de 50 % de son coût unitaire est réalisé sur le territoire. La conformité est évaluée par un audit indépendant et fait l’objet de vérifications régulières.
Un partenaire aux valeurs communes :
Collaboration avec le 𝗞𝗶𝗼𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗮̀ 𝗖𝗼𝘂𝘁𝘂𝗿𝗲 d'OZANGE.net ! OZANGE est engagé dans l'insertion par l'activité économique de personnes en situation d'exclusion et en recherche de solutions d'emplois.
Miss France :
Saviez-vous que la plupart du tissu servant à la réalisation des robes des miss était imprimé dans notre atelier d’Amiens ? En accord avec les musées nationaux, les tableaux ont été reproduits et adaptés dans le respect de l’esprit des maîtres par notre graphiste. Ces 5 robes ont constitué le point d’orgue des défilés organisés lors de l'événement.
- CIT DESSAINT fête ses 30 ans de savoir-faire !
- Visite de Jean Castex dans nos locaux
- CIT ouvre ses portes pour des JPO et propose des visites découverte en groupe gratuitement. Au programme : expositions organisées par l’association Mémoire de Sayetteur , l’occasion de découvrir l’histoire du site Cosserat ; visite commentée de notre entreprise ; présentation des vêtements en velours Cosserat réalisés par les élèves de terminale 2023 Bac Pro MMV du Lycée Edouard Branly.
- Le lundi 18 septembre, le lycée Edouard-Branly a reçu la visite de Carole Grandjean , ministre déléguée chargée de l'enseignement et de la formation. Au programme : présentation de la nouvelle réforme des lycées professionnels. À l'issue de cette visite, notre talentueuse apprentie Mahaut a pu présenter ses créations entre technicité et créativité, son travail a été récompensé. Elle s'est vu attitrer le diplôme du "meilleur apprenti de France" pour les Hauts-de-France !
Formation :
Nous avons officiellement lancé notre formation aux métiers de la couture !
Au programme :
- Acculturation au secteur textile (matières et éco-conception) : Généralités textiles et connaissances de l’environnement du métier.
- Appropriation de la documentation technique.
- Règles d’hygiène et de sécurité aux pratiques professionnelles.
- Ergonomie et organisation au poste de travail.
- Techniques de placement et coupe manuelle.
- Opérations et étapes de confection.
- Contrôle qualité.
- Intégration à une équipe et organisation d’entreprise.
Ce sont 7 personnes qui se sont vues ouvrir les portes de notre formation pour une durée de 3 mois. Comme vous le savez, nous croyons à l’investissement sur l’avenir.
𝑼𝒏𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒆𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒊𝒈𝒏𝒆́𝒆 𝑪𝑰𝑻-𝑫𝑬𝑺𝑺𝑨𝑰𝑵𝑻 :
L𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒐𝒑𝒉𝒆́𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒂𝒄𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆… 𝑪𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒑𝒂𝒕𝒓𝒊𝒎𝒐𝒊𝒏𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒖 𝒔𝒂𝒗𝒐𝒊𝒓-𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒑𝒊𝒄𝒂𝒓𝒅, 𝒐𝒖̀ 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒍 𝒓𝒆𝒏𝒅 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒂𝒈𝒆 𝒂̀ 𝒍’𝒆𝒙𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒆𝒕 𝒂̀ 𝒍’𝒉𝒆́𝒓𝒊𝒕𝒂𝒈𝒆 𝒕𝒆𝒙𝒕𝒊𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒈𝒊𝒐𝒏.
ici Picardie a remis les trophées T'es d'min coin, qui récompensent les personnes, associations, entreprises, communes et institutions qui contribuent à la préservation de la langue picarde.
Les lauréats de cette 2e édition ont été récompensés sur les planches de la Comédie de Picardie le vendredi 28 février dernier.
Cinq prix, 100 % personnalisés pour l’occasion, ont été conçus et fabriqués par notre entreprise. Plus que de simples trophées, ces objets incarnent l’identité et l’histoire de la Picardie. Leur velours imprimé, orné de motifs floraux, puise son inspiration dans l’une des précieuses planches d’impression conservée par l’Association Mémoire de Sayetteur.
Le bleu qui les habille rappelle la waide, cet "or bleu" qui fit la renommée d’Amiens et contribua à l’édification de notre majestueuse Cathédrale Notre-Dame.
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1911
La naissance de l’entreprise : Hubert Dessaint va créer la manufacture textile au 344 rue Saint-Honoré, devenue en 1958, le 32 rue Jean Moulin.
1980
l’entreprise Dessaint devient un fabricant d’équipements incontournable. L’entreprise fait son apparition sur le marché du sport.
1992
Naissance de CIT : Confection et Impression Textile (CIT), installée dès juillet 1992 dans quelques locaux familiaux de la rue Jean-Moulin.
2011-2019
La cinquième génération fait progressivement son entrée dans l’entreprise. Virginie et Nicolas, les enfants de Philippe Dessaint, prennent peu à peu les rênes.
2019
À partir de 2019, CIT écrit un nouveau chapitre de son histoire en s’installant dans les anciennes usines de velours Cosserat, classées à l’inventaire des Monuments Historiques.
Depuis plus d’un siècle, CIT Dessaint a su évoluer sans jamais renier ses racines : de l’atelier familial de 1911 à l’installation sur le site historique de Cosserat, de la confection textile traditionnelle aux solutions modernes de personnalisation, l’entreprise a traversé les épreuves et accompagné les grandes évolutions de son temps. Portée par un savoir-faire transmis de génération en génération, elle a su se réinventer face aux défis économiques, technologiques et sociétaux, tout en restant fidèle à ses valeurs d’ancrage local, de qualité et d’agilité. Aujourd’hui, avec ses engagements en faveur du « Made in France », de la formation et de l’innovation responsable, CIT Dessaint poursuit son histoire avec la même ambition : valoriser les femmes, les hommes et les territoires qui font vivre chaque projet.
« Si l’équipe d’Échappées Belles est venue jusqu’à nous, c’est parce que CIT Dessaint fait partie du patrimoine vivant de la Somme. Depuis plus d’un siècle, nous perpétuons un savoir-faire textile unique à Amiens tout en le modernisant pour répondre aux besoins d’aujourd’hui. Notre histoire, notre ancrage local et notre engagement pour le Made in France illustrent parfaitement l’identité picarde : une région fière de ses racines, innovante et tournée vers l’avenir. »
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